Il est d'ores et déjà de l'ordre de la conceptualisation déterminée d'approuver en applaudissant fougueusement à deux mains cette grandiose proposition de décorer de rouge nos demeures afin d'afficher à la face de l'univers nos couleurs.
La colororation exhubérante de nos options politiques est, affirmons-le sans ambages, une dimension cruciale qui nous projette loin des atavismes divers dont, dans notre société contemporaine, nous ne cessons d'être accablés. Dévoiler nos couleurs, c'est fournir une contribution inouïe au foisonnement catégoriel qui délimite nos orientations idéologiques dont la nature multiscalaire ne peut que sauter à nos yeux. C'est aussi marquer une convaincante atemporalité qui ne peut que subvertir les élans d'unanimisme qui, malgré leur aspect rassénérant, peuvent détourner de l'essentiel de sa propre caractérisation l'être en proie aux tourments principiels qui fait, trop souvent, plonger l'observateur attentif dans une impression trompeuse qui brouille la claire compréhension que seule peut apporter sur soi-même un herméneutisme complètement assumé.
Les couleurs des lumières rouges qui scintilleront de tous leurs feux aux devantures des paisibles chaumières alimenteront le sentiment bienfaisant d'une chaleur existentielle qui égaiera les passants, aussi furtifs ceux-ci puissent paraître. C'est pourquoi le rouge permettra aux adeptes de l'orientation idéologique à laquelle cette couleur est reliée de disséminer leur présence qui ne saurait certes jamais être réduite à une conception purement spéculative de la pensée empreinte d'un subjectivisme entraînant. Puisse cette manifestation rayonnante des choix spécifiquement assumés provoquer une farouche adhésion aux concepts transhistoriques et pluriculturels qui permettent à l'action spatio-temporelle de publiciser la résolution d'imprégner le devenir de la traduction para-réelle des circovonlutions qui ne cessent de pérégriner intempestivement dans les esprits!
On dirait une dictée de Bernard Pivot. M. Beauregard doit être un champion du scrabble. Par contre, on écrit pour être lu... Obliger le lecteur de consulter un dictionnaire à quelques reprises dans un texte, c'est bien. Dans ce texte, ça me semble un peu exagéré, on en perd le fil.
J'émets péremptoirement l'affirmation que la limpidité de mon propos fait partie de l'évidence même des choses. Mais peut-être que subrepticement la très haute qualité de mes proses scripturales pourrait embrasser l'éventualité hasardeuse d'une suggestibilité au lecteur à l'effet que ce dernier pourrait élabore une démarche d'auto-formation intellectuelle aux concepts figuratifs que contient ma dernière intervention.
Je ressens parfois quelque réminiscence émue de mes années où, jeune pugiliste, je n'en déployais pas moins un fougueux engouement qui se situe antagoniquement par rapport à une quelconque démarche rédhibitoire . Le Savoir est en effet un objet circonstanciel, que l'on ne peut faire rayonner que dans une sagace humilité. Bien entendu, j'ai la conscience très nette que j'illumine de mes connaissances tout le lectorat ébahi qui peut lire mes lignes, qui sont le fruit de ma Pensée.
Messieurs Hubert Beauregard et Yvon Raymond devraient sérieusement penser à poser leurs candidatures pour écrire les discours d'André Boisclair. Ils cadrent parfaitement avec le style du nouveau leader péquiste. Leurs propos sont vides mais sont servis dans un bien beau contenant. On ne dit rien, mais c'est dit avec un vocabulaire époustouflant. Attendez, peut-être sont-ils déjà les rédacteurs des discours d'André ??? Qui sait ? Si ils ont tant de temps qu'ils peuvent se permettre de lire notre blogue, c'est parce que les discours du nouveau chef sont déjà écrits pour les mois à venir. On peut les servir à toutes les sauces. Ça me fait penser un peu aux chansons de Normand L'amour, qui lui aussi avait des centaines de chansons déjà écrites !
avec votre capacité d'utiliser beaucoup de mots sans rien dire, j'ai soumis votre nom au Premier Ministre pour une nouvelle nomination gouvernementale.
Avec cette propension à livrer un contenu vide dans un beau contenant, vous jouerez votre nouveau rôle de sénateur à merveille.
Je suis quelque peu enquiquiné par les commentaires qui fusent ici contre mes doctes propos. Il faudra admettre qu'une hiérarchisation conceptuelle se révèle incommensurablement incontournable lorsque nous pérorons nos engouements respectifs.
Penchons-nous donc gaillardamment sur les dimensions existentialo-spéculatives de notre débat, au lieu de nous enliser dans la fange embourbeuse qu'est la tergiversation locutrice.
Nous vivons une époque métahistorique, qui nécessite des analyses énonciatives beaucoup plus incisives que les tentatives éparses de cristallisation des énoncés flottants. Bien entendu, il s'agit là d'une véracité redoutable quant à l'éventualité d'un effritement sémantique et d'un agencement des mécanismes catégoriels dont peuvent s'affubler les pusillanimes de tous les genres.
Devant quoi je spécifie que je suis contre toute forme de dédoublement des transmutations idéelles. Celle-ci est tout simplement atypique d'une contemporéinisation de tendances propres aux thaumaturges qui, perfidement, voudraient nous plonger dans une structure asilaire qui bafoue les qualifications perceptibles par une induction qui n'est pas sans être apparentée à une certaine déductibilité.
J'opine par la bifurcation d'une énonciation narrative pour relever le propos de M. ou Mme Anonymous. Je crois que M. ou Mme Anonymous utilise dans son propos une structure topologique argumentative qui provoque l'émanation transsubstantiatoire de l'énergie dont il fait mention en usant d'une méthodologie discursive qui éveille l'esprit, celui-ci devant s'efforcer d'acquérir une conscience de l'épiphénomène qu'est l'enjeu lumineux sur lequel nous sommes ainsi conscientisés.
Toutefois, une catégorisation différentielle se fait urgemment sentir. L'auto-différenciation consiste en effet à établir l'admission principielle d'une causalité dûe au flux inexorable d'une interconnexivité que l'on retrouve aux fondements même de l'élaboration continue des processus dilatoires. C'est comme lorsque nous tentons d'aplanir les aspects morphogéniques de tout postulat multiscalaire. Ce serait là faire preuve d'une particularisation très conjecturale, qui déterminerait alors la consolidation approximative des anomalies qui naissent d'une dérivation extraponentielle des concepts heuristiques.
Que M. ou Mme Anonynous se rassure donc: la perspicacité inhérente à son propos suscitera chez le lecteur l'éveil d'une conscience de la non-linéarité des approches subtantifiques qui, sous un angle purement commutatif, renvoient à de redoutables homologations que nous ne pourrions nier. Mais attention cependant: toute discontinuité entre les prolégomènes fondamentaux (ceux qui soutiennent la position énoncée) risqueraient de sombrer dans une surproblématisation dont le caractère outrancier et, sur un plan épistémologique, diffus, saute aux yeux hagards du premier venu.
14 Commentaires:
Il est d'ores et déjà de l'ordre de la conceptualisation déterminée d'approuver en applaudissant fougueusement à deux mains cette grandiose proposition de décorer de rouge nos demeures afin d'afficher à la face de l'univers nos couleurs.
La colororation exhubérante de nos options politiques est, affirmons-le sans ambages, une dimension cruciale qui nous projette loin des atavismes divers dont, dans notre société contemporaine, nous ne cessons d'être accablés. Dévoiler nos couleurs, c'est fournir une contribution inouïe au foisonnement catégoriel qui délimite nos orientations idéologiques dont la nature multiscalaire ne peut que sauter à nos yeux. C'est aussi marquer une convaincante atemporalité qui ne peut que subvertir les élans d'unanimisme qui, malgré leur aspect rassénérant, peuvent détourner de l'essentiel de sa propre caractérisation l'être en proie aux tourments principiels qui fait, trop souvent, plonger l'observateur attentif dans une impression trompeuse qui brouille la claire compréhension que seule peut apporter sur soi-même un herméneutisme complètement assumé.
Les couleurs des lumières rouges qui scintilleront de tous leurs feux aux devantures des paisibles chaumières alimenteront le sentiment bienfaisant d'une chaleur existentielle qui égaiera les passants, aussi furtifs ceux-ci puissent paraître. C'est pourquoi le rouge permettra aux adeptes de l'orientation idéologique à laquelle cette couleur est reliée de disséminer leur présence qui ne saurait certes jamais être réduite à une conception purement spéculative de la pensée empreinte d'un subjectivisme entraînant. Puisse cette manifestation rayonnante des choix spécifiquement assumés provoquer une farouche adhésion aux concepts transhistoriques et pluriculturels qui permettent à l'action spatio-temporelle de publiciser la résolution d'imprégner le devenir de la traduction para-réelle des circovonlutions qui ne cessent de pérégriner intempestivement dans les esprits!
On dirait une dictée de Bernard Pivot. M. Beauregard doit être un champion du scrabble. Par contre, on écrit pour être lu... Obliger le lecteur de consulter un dictionnaire à quelques reprises dans un texte, c'est bien. Dans ce texte, ça me semble un peu exagéré, on en perd le fil.
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M. Beauregard devrait être l'auteur de la prochaine question référendaire
J'émets péremptoirement l'affirmation que la limpidité de mon propos fait partie de l'évidence même des choses. Mais peut-être que subrepticement la très haute qualité de mes proses scripturales pourrait embrasser l'éventualité hasardeuse d'une suggestibilité au lecteur à l'effet que ce dernier pourrait élabore une démarche d'auto-formation intellectuelle aux concepts figuratifs que contient ma dernière intervention.
Je ressens parfois quelque réminiscence émue de mes années où, jeune pugiliste, je n'en déployais pas moins un fougueux engouement qui se situe antagoniquement par rapport à une quelconque démarche rédhibitoire . Le Savoir est en effet un objet circonstanciel, que l'on ne peut faire rayonner que dans une sagace humilité. Bien entendu, j'ai la conscience très nette que j'illumine de mes connaissances tout le lectorat ébahi qui peut lire mes lignes, qui sont le fruit de ma Pensée.
Messieurs Hubert Beauregard et Yvon Raymond devraient sérieusement penser à poser leurs candidatures pour écrire les discours d'André Boisclair. Ils cadrent parfaitement avec le style du nouveau leader péquiste. Leurs propos sont vides mais sont servis dans un bien beau contenant. On ne dit rien, mais c'est dit avec un vocabulaire époustouflant. Attendez, peut-être sont-ils déjà les rédacteurs des discours d'André ??? Qui sait ? Si ils ont tant de temps qu'ils peuvent se permettre de lire notre blogue, c'est parce que les discours du nouveau chef sont déjà écrits pour les mois à venir. On peut les servir à toutes les sauces. Ça me fait penser un peu aux chansons de Normand L'amour, qui lui aussi avait des centaines de chansons déjà écrites !
M. Beauregard
avec votre capacité d'utiliser beaucoup de mots sans rien dire, j'ai soumis votre nom au Premier Ministre pour une nouvelle nomination gouvernementale.
Avec cette propension à livrer un contenu vide dans un beau contenant, vous jouerez votre nouveau rôle de sénateur à merveille.
Je suis quelque peu enquiquiné par les commentaires qui fusent ici contre mes doctes propos. Il faudra admettre qu'une hiérarchisation conceptuelle se révèle incommensurablement incontournable lorsque nous pérorons nos engouements respectifs.
Penchons-nous donc gaillardamment sur les dimensions existentialo-spéculatives de notre débat, au lieu de nous enliser dans la fange embourbeuse qu'est la tergiversation locutrice.
Nous vivons une époque métahistorique, qui nécessite des analyses énonciatives beaucoup plus incisives que les tentatives éparses de cristallisation des énoncés flottants. Bien entendu, il s'agit là d'une véracité redoutable quant à l'éventualité d'un effritement sémantique et d'un agencement des mécanismes catégoriels dont peuvent s'affubler les pusillanimes de tous les genres.
Devant quoi je spécifie que je suis contre toute forme de dédoublement des transmutations idéelles. Celle-ci est tout simplement atypique d'une contemporéinisation de tendances propres aux thaumaturges qui, perfidement, voudraient nous plonger dans une structure asilaire qui bafoue les qualifications perceptibles par une induction qui n'est pas sans être apparentée à une certaine déductibilité.
Faire un concour pour surconsommer de l'énergie, mainteant on peu voire la poistions des jeunes libéraux sur l'écologie.
J'opine par la bifurcation d'une énonciation narrative pour relever le propos de M. ou Mme Anonymous. Je crois que M. ou Mme Anonymous utilise dans son propos une structure topologique argumentative qui provoque l'émanation transsubstantiatoire de l'énergie dont il fait mention en usant d'une méthodologie discursive qui éveille l'esprit, celui-ci devant s'efforcer d'acquérir une conscience de l'épiphénomène qu'est l'enjeu lumineux sur lequel nous sommes ainsi conscientisés.
Toutefois, une catégorisation différentielle se fait urgemment sentir. L'auto-différenciation consiste en effet à établir l'admission principielle d'une causalité dûe au flux inexorable d'une interconnexivité que l'on retrouve aux fondements même de l'élaboration continue des processus dilatoires. C'est comme lorsque nous tentons d'aplanir les aspects morphogéniques de tout postulat multiscalaire. Ce serait là faire preuve d'une particularisation très conjecturale, qui déterminerait alors la consolidation approximative des anomalies qui naissent d'une dérivation extraponentielle des concepts heuristiques.
Que M. ou Mme Anonynous se rassure donc: la perspicacité inhérente à son propos suscitera chez le lecteur l'éveil d'une conscience de la non-linéarité des approches subtantifiques qui, sous un angle purement commutatif, renvoient à de redoutables homologations que nous ne pourrions nier. Mais attention cependant: toute discontinuité entre les prolégomènes fondamentaux (ceux qui soutiennent la position énoncée) risqueraient de sombrer dans une surproblématisation dont le caractère outrancier et, sur un plan épistémologique, diffus, saute aux yeux hagards du premier venu.
BRAVO
C'est vraiment super d'organiser un concour de gaspillage d'électricité au moment où il y a une conférence sur les changements climatiques à Montréal.
C'est là qu'on voit que les jeunes libéraux sont préoccupé par l'environnement.
Bravo pour votre campagne ''d'allumage de lumières à la Jean-Marc Parent''
Vraiment, l'idée de gaspillage semble être inhérente à tout bon libéral...
Encore une fois, bravo, quel concept édifiant !
J'ai bien beau être un libéral convaincu, mais je trouve que c'est une idée crissement conne.
Français terrible sur le site web national et sur votre site web...
Nathalie
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