Vote16 et Mark Holland ont été défaits !!!
Chers amis libéraux, Ceux qui étaient présents au dernier congrès du PLC à Ottawa ont vu que je m'étais opposé, avec conviction, à l'initiative du député de Ajax-Pickering qui abaisserait l'âge pour voter à seize ans. Cette proposition, au Québec, est défendue par le PQ qui croit pouvoir gagner un référendum avec cette tranche d'âge. Les échanges, au Congrès, avaient été musclés. J'avais prévenu M. Holland que je le tiendrais personnellement responsable de la séparation si son projet de loi devait passer et que le Québec se séparait. Il ne semblait pas vraiment comprendre ce qu'il se passait. Lundi, sachant que son projet de loi serait voté mercredi, je lui ai passé un coup de téléphone. Il m'a rappelé dans la même journée, je le remercie. Je lui ai refait part de mon point de vue et cette fois avec une certaine véhémence. Je lui ai expliqué que les enfants sont endoctrinés, dans nos écoles, pour détester les méchants Canadians. À 16 ans, ils viennent de sortir de leur cours d'histoire péquiste de secondaire 4. J'ai fini par lui dire qu'il ne comprenait aucunement la dynamique québécoise. De plus, à 16 ans, on a aucune obligation, donc peu importe le gouvernement, notre vie sera bien peu influencée. Un vote est plus ou moins sans conséquence à cet âge-là. Il a semblé agacé, la conversation s'est terminée en me disant qu'il respectait mes opinions. Tout ça pour dire que je suis très heureux que son projet de loi ait été battu. Je tiens à remercier le caucus québécois qui était opposé à une telle mesure et un merci tout particulier à Jacques Saada qui prend toujours un grand soin de répondre à mes diverses interrogations. Je dois également souligner la vitesse à laquelle il répond à ses courriels. On pourrait l'appeler l'homme qui répond plus vite que son ombre ! Alexandre
A New Horse Race
Ooh I love Predictions! Here are the 3 top contenders for the leadership of the PQ Gillies Doo-Separatist Leader of the Crock Quebecois in Ottawa, Gillies believes that he should bring the government down on principle that they are corrupt and opportunistic, so when he joins the PQ leadership race because he can become premier, he will become…Liberal? Pauline “Golden Bowl” Marois If you spend 150, 000$ on a toilet, you deserve an award, but it isn’t the keys to the province. As health minister, she ruined the health system. As Education Minister, she ruined the education system. As finance minister, she nearly bankrupted the province. As premier, she would send Quebec…..straight down the toilet? France-Ouais Legault With no relation to JLCQ president Brigitte Legault, France-Ouais released a budget for Quebec’s first year of independence which was a gross miscalculation which failed to conduct simple math. If François can’t add up simple numbers, can he really be trusted governing a whole province, never mind a nation. Is it possible all Quebec would see is….red?
Être LIbéral
Voici un texte qui explique pourquoi en 1997, j'ai commencé à militer au sein du Parti Libéral du Canada et pourquoi encore aujourd'hui, je continue à militer. Ce texte, ce n'est pas moi qui l'ai écrit, mais ça reflète parfaitement les motivations de mon implication. Nous ne pouvons le nier, la situation présente de notre parti et de notre pays est l’une des plus difficiles et des plus fragiles qu’il nous ait été donné de connaître. Mais les périodes de crise peuvent se révéler parfois utiles – sinon nécessaires, car elles offrent une occasion de se ressaisir, de se secouer et de renouer avec les motivations profondes, les valeurs et les idéaux qui sont censés nous animer dans l’engagement qui est le nôtre en tant que militants et militantes libéraux, et aussi en tant que citoyens et citoyennes de ce pays. Face à l’ampleur du défi, il nous faut nous-mêmes nous réinventer. L’enjeu est simple, mais grave aussi : nous, libéraux, sommes-nous prêts à déployer tous les efforts requis pour que nos idéaux et nos valeurs retrouvent toute leur pertinence et leur utilité sur la scène publique du Québec et du Canada? À cette heure de grand péril pour ce parti dans lequel nous avons donné le meilleur de nous-mêmes, il nous faut, maintenant plus que jamais, redécouvrir la raison d’être, sinon l’âme même de notre parti, et nous engager en conséquence. Nous sommes appelés à réaffirmer ce à quoi nous croyons, et à réarticuler la contribution que nous voulons offrir pour le mieux-être de chacun et chacune des gens qui vivent chez nous, au Québec et au Canada. Les libéraux ont grandement contribué à façonner ce pays. Le Canada est connu dans le monde comme un pays où règnent les droits, les libertés, la justice, la tolérance, l’ouverture sur la diversité des cultures et des origines. Avec humilité, mais aussi avec l’assurance que la plupart d’entre nous y ont, au passé et au présent, dédié l’essentiel de leurs vies, nous pouvons revendiquer la part active et déterminante que nous, libéraux, avons prise dans les chantiers qui ont construit ce que ce pays est devenu et continue de représenter aujourd’hui. Les vrais libéraux savent que les idées politiques expriment avant tout des valeurs profondes qui esquissent ce que le monde devrait être. Ce que veulent les libéraux, c’est un monde où personne ne devrait être laissé à l’écart de la prospérité, parce qu’ils savent que les libertés ne peuvent pas être réelles lorsque certains, dans notre société, subissent l’exclusion ou la pauvreté; c’est aussi un monde où la personne humaine devrait toujours être placée au cœur des préoccupations économiques et politiques, et où l’État n’a d’autre fonction que d’assumer pleinement cette nécessité; et c’est également un monde où les différences sont vues comme un atout, et non comme une source de crainte ou comme une motivation à se replier sur soi. En un mot, pour les vrais libéraux, la politique est porteuse d’une éthique fondamentale, centrée sur l’amélioration des conditions de vie des gens de ce pays. Pour nous les libéraux, la politique ne doit pas, ne devrait jamais avoir d’autre raison d’être. Il s’agit de servir, et non pas de se servir. C’est là ce à quoi tout notre parti doit être dédié, et c’est ce qui doit caractériser toutes nos interventions dans le débat public. Car des démarches politiques qui ne sont pas sensibles aux préoccupations et aux conditions de vie des gens, et qui pour cette raison se révèlent incapables de les rejoindre, sont des démarches qui ne méritent que d’échouer. Nous, les libéraux, savons que nos valeurs et nos idéaux sont suffisamment forts pour éviter un si triste sort, car ils sont plus que jamais nécessaires à notre société et à notre démocratie. Pour nous les libéraux, l’identité, la langue et la culture constituent non pas des prétextes frileux justifiant le repli sur soi, mais des tremplins qui permettent de déployer ce que nous sommes et de le faire fructifier. Ainsi, nous sommes fiers d’être des Québécois à part entière et nous sommes suffisamment sûrs de nous-mêmes pour croire qu’il est possible de partager un même pays, le Canada, avec des communautés pourvues de langues, de cultures et d’origines différentes. Nous savons qu’en ce sens le Canada est un modèle pour le monde troublé qui est aujourd’hui le nôtre. Et c’est pourquoi nous nous engageons à lutter pour ce pays, tout en voulant donner le meilleur de nous-mêmes pour que le Canada exerce pleinement le rôle qui est à sa mesure dans le monde d’aujourd’hui, et pour lequel les valeurs canadiennes sont synonymes d’espoir, de liberté, de justice, de paix, de tolérance, et de respect des différences et de la diversité des cultures. Au Québec même, nous les libéraux sommes les héritiers directs de ceux qui, avec courage et dignité, ont permis à la société québécoise d’entrer à fond dans la modernité. Nos origines remontent jusqu’aux défenseurs des libertés du 18e siècle, en passant par les Rouges anti-cléricaux du 19e siècle, et aussi par ceux qui, ensuite, ont lutté courageusement pour l’éducation gratuite et obligatoire ainsi que pour le droit de vote des femmes et la création de programmes sociaux visant à favoriser l’égalité des chances. Partout où des personnes étaient privées de leurs droits et où leur dignité était bafouée, on retrouvait des libéraux pour prendre leur parti et pour se positionner à l’avant-garde du progrès social et culturel. En ce sens, être libéral a toujours signifié au Québec et au Canada de s’engager pour la conquête de droits et de libertés nouveaux, accessibles à tous. De plus, comment oublier l’apport catalyseur des libéraux à la Révolution tranquille, et aux politiques de progrès social qui ont marqué le développement de notre pays tout au long de l’ère Trudeau, de même qu’aux réalisations qui ont permis au Canada de devenir l’un des pays les mieux aptes à faire face au défi de la mondialisation? En tout temps dans l’histoire du Québec, ce sont des esprits libéraux qui ont favorisé la modernisation de la société et des institutions québécoises et canadiennes; ce sont des esprits libéraux qui ont œuvré pour la démocratie, la tolérance et l’ouverture de notre société sur ce que le Canada et le monde pouvaient apporter de meilleur, tout en permettant aux Québécois et Québécoises d’y apporter leur pleine contribution. À nous, libéraux d’aujourd’hui, de redécouvrir et de nous réapproprier cet héritage qui est le nôtre, de le revendiquer avec fierté, de le redéployer et de l’assumer pleinement pour répondre aux défis et enjeux de notre temps. Nous nous engageons à renouer avec les valeurs libérales; nous nous engageons à les respecter et à les promouvoir, pour que nos concitoyennes et concitoyens prennent de plus en plus conscience de l’importance de ces mêmes valeurs pour ce que le Québec et le Canada sont devenus, et pour ce qu’ils peuvent encore devenir pour eux-mêmes, et aussi pour le monde d’aujourd’hui et de demain. Pour chacun et chacune d’entre nous, cet engagement signifie de mettre en pratique les valeurs libérales. Notre principale raison d’être consiste à donner le meilleur de nous-mêmes pour continuer à construire un pays plus uni, et à faire advenir chez nous une société plus juste et solidaire, dans laquelle chaque personne devra, au cours de son existence, pouvoir bénéficier des conditions requises pour le plein développement de ses facultés et de son identité, et où ses droits et ses libertés seront, en tout temps et partout au pays, respectés et défendus. Être des libéraux en 2005, c’est tout cela. Et rien que cela. Alex
50% +1?
Bernard Landry a demissionné son poste après avoir reçu que SOIXANTE-SEIZE pourcent de confiance de son parti. Ma seule demande pour M. Landry est: Si une majorité a trois quarts n’est pas assez pour retenir son leadership, comment voudrais-tu détruire ton pays avec un seul vote? Antonio
Tassez-vous, Saint-Gilles débarque !
Quelle nouvelle ! C'est avec plus ou moins de surprise que j'ai appris la démission de Bernard Landry. Il y a quelques semaines, quand Legault et Marois se sont ralliés, j'ai dit à mon père : "Tout ça n'a aucun sens, ça sent le Saint-Gilles". Je faisais évidemment référence au héros national, Gilles Duceppe. Enfin, qu'a-t-il fait pour mériter son titre de héros national ? J'ai beau fouiller toutes ses années en politique, j'analyse, je cherche et je ne trouve rien qui va marquer l'histoire. Est-ce son passage au Parti Marxiste-Léniniste, ses quatre cents questions sur les commandites ? Malgré ces nombreuses heures passées à parcourir les livres d'histoire.et aucune mention de Saint-Gilles. C'est assez pauvre comme "track record" Vous savez les sauveurs, je n'y crois pas. On a vu, à Québec en 1998, arriver le sauveur du Parti Libéral du Québec. Malheureusement, ça ne s'est pas concrétisé. Charest devait balayer le Québec et plus tard cette année-là, il a perdu son pari. Le Parti Libéral du Canada a également vécu la même situation récemment. Nous avons assisté au couronnement de M. Martin et l'élection qui a suivi fut très décevante. Dans le dernier cas, on doit dire que le Parti Libéral avait été au pouvoir pendant plusieurs années et qu'une crise politique fut très mal gérée. Les couronnements du roi du moment sont très malsains pour la santé démocratique d'un parti politique. Advenant un couronnement de Gilles Duceppe, je vois déjà les militants radicaux qui iront déchirer leurs chemises sur la place publique. L'arrivée de Gilles Duceppe sur la scène politique provinciale sera bénéfique pour la cause fédéraliste. En analysant le bilan de ce dernier, on voit qu'il n'a rien accompli.. Sa dernière campagne fut médiocre, il n'a fait que surfer sur une vague. Il sera la cause de l'effondrement du Parti Québécois en démontrant qu'ils sont incapables de gérer le Québec efficacement. On en sera débarassé à Ottawa, j'espère sincèrement voir Michel Gauthier reprendre le leadership du Bloc. Il donnera au Parti Libéral du Canada d'aller gagner une quarantaine de sièges au Québec. Il avouait tout récemment, sur les ondes de RDI, que plus de députés bloquistes n'amènerait rien de plus pour le Québec. Pour une fois, je suis tout à partiellement d'accord avec M. Gauthier. Enfin, ça ne ferait que diminuer l'influence du Québec au sein du gouvernement canadien. Je tiens à féliciter le Très Honorable Jean Chrétien et l'Honorable Stéphane Dion pour la loi sur la clarté. On voit que les séparatistes ont également différents standards pour différentes situations. 76,2% pour diriger un parti n'est pas suffisant mais 50%+1 pour briser le meilleur pays du G8 est suffisant. Il y a là une incohérence troublante. Jean Chrétien se servait de l'exemple d'assemblées syndicales ou de la dissolution d'un club de chasse et pêche qui requièrent le 2/3 des membres, j'espère que nos leaders fédéralistes sauront utiliser le 76.2% à bon escient. Des questions purement partisanes demandent une majorité plus claire que 76,2% tandis que l'intérêt national ne requiert 50%+1. Pour terminer, l'autre explication possible sur le départ du chef péquiste est la suivante : on voit là une autre crise de l'ego, gonlé à l'hélium, de Bernard Landry. Rappelez-vous au lendemain de la dernière élection provinciale, il disait qu'il envisageait démissionner dans les prochaines semaines. Il s'est assis et a attendu que sa crisette passe et il a persévéré. La décision de ce soir, cette fois, est irréversible. Landry perdrait le peu de crédibilité qu'il lui reste depuis la mise au jour partielle du scandale d'Oxygène-9, le rapport sur la Gaspésia, les dépassements de coût du métro de Laval et j'en passe. Je reconnais la dévotion de Bernard Landry à sa cause mais son dévouement a coûté très cher aux Québécois. Alexandre
Duceppe: Affiche-toi!
- Marc
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